« Traduire, c’est trahir » ou « traducteur, traître », c’est par ces interprétations du célèbre poncif « traduttore, traditore » que l’on cantonne trop souvent la traduction et l’adaptation d’œuvres. Réussir à retranscrire toute l’essence d’un manga ou d’un animé, sans trahir ni l’œuvre ni son auteur, peut receler de très nombreuses difficultés. A travers ce dossier, nous revenons, avec